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About
The Bay of Chaleur

À propos de 
La Baie des Chaleurs

History

Chaleur Bay (English: Bay of Chaleur or Chaleur Bay, Micmac: Maoi Pôgtapei) is an arm of the Gulf of Saint Lawrence separating the Gaspé Peninsula in Quebec from New Brunswick. This name was given by the French explorer Jacques Cartier because of the mist that covered it when he discovered it, which gave him the false impression that the water was warm. The Micmacs called the bay Mowebaktabaak, which means large bay.


It was Jacques Cartier who, on July 9, 1534, gave the bay its modern name: “We call the said bay the bay of Chaleur”. He chose this name because it “is more temperate in heat than the land of Spain”. The plural Baie des Chaleurs became established from the 17th century. English speakers give it the names Bay of Chaleur or Chaleur Bay. In the 19th century, the Micmacs named the bay Ecketaan Nemaachi, which means “sea full of fish”. The current Micmac name is Maoi Pôgtapei, in other words “the bay par excellence”. Historically, the names Bastille, baya de Ralegno, golfo de Calore, bay of Sainte-Catherine as well as Heat or Sterling Bay were also used.

The shores of Chaleur Bay include numerous beaches, particularly on the southern shore. Tourism in the region has been driven in the summer months by users of the bay's beaches. The warm ocean currents that enter the bay from the larger Gulf of St. Lawrence result in some of the warmest saltwater on the Atlantic coast north of the state of Virginia.

The estuaries of various rivers emptying into the bay create a prominent smell of salt water, notably in the estuary of the Restigouche River. The bay's shape and the steep cliffs along its northern shore sometimes create particularly windy conditions especially off Nepisiguit Bay. Under the right wind direction and speed, sea conditions on large areas of the bay can become quite treacherous. Tidal currents are generally weak, except at the mouths of some rivers and certain channels. Its configuration tends to channel the wind for two reasons: the steep cliffs on its North side, and its V shape. This means that there are zones that are particularly windy and subject to high seas if the wind is from the Northwest or the Northeast.

Chaleur Bay is home to a variety of marine life including numerous species of ground fish and shellfish such as lobster and scallops. Additionally, many of the bay's pristine rivers support some of the largest wild Atlantic Salmon remaining in the north Atlantic Ocean, creating a haven for sport angling.

While whale watching including endangered targets such as Fin whales are popular attractions in the bay, North Atlantic right whales, one of the rarest whales and had been considered to be rare in Gulf of Saint Lawrence region, were recently confirmed to be present in Chaleur Bay more often in recent years.

L'Histoire

 

La vaste échancrure prolongeant le golfe du Saint-Laurent, limitée au nord par la Gaspésie et au sud par le Nouveau-Brunswick, porte le nom Baie des Chaleurs. Son ouverture s'étend sur 40 km, de l'île Miscou au sud, au cap d'Espoir au nord. Cette baie, qui pénètre à une centaine de kilomètres à l'intérieur des terres, reçoit, à sa tête, les eaux des rivières Matapédia et Ristigouche. Jacques Cartier est le créateur du toponyme.

 

Le 9 juillet 1534, il rapporte dans sa Narration : «Nous nonmames ladite baye la baye de Chaleur». Cartier écrit un peu plus avant que cette région «est en challeur plus temperee que la terre d'Espaigne». Les températures de juillet y sont, en effet, assez élevées. À partir du XVIIe siècle, l'emploi du pluriel Baye de Chaleurs s'impose. Dans la documentation anglaise, à côté de Bay of Chaleur et Chaleur Bay, on trouve parfois la traduction littérale Bay of Heat. Les Micmacs appellent cette baie Maoi Pôgtapei signifiant « la baie par excellence ».

 

Au XIXe siècle, ce vaste rentrant était connu sous le nom micmac Ecketaan Nemaachi qui voulait dire « mer poissonneuse ». Autres noms donnés à la baie des Chaleurs dans la documentation historique : La Bastille; baya de ralegno; Golfo de Calore; Baie de sainte Catherine; Heat or Sterling Bay.

Mawipoqtapeg, ou Maoi Pôgtapei, est le nom que les Micmacs utilisent pour parler de la baie des Chaleurs. Selon les sources, il signifie « grand plan d'eau », ou « la grande baie, la plus importante, la baie par excellence ».

 

Le Club des plus belles baies du monde a été fondé en 1997 dans le but de promouvoir et protéger les différentes baies partout dans le monde. Aujourd’hui, ce club reconnait les baies de 27 pays, dont la fameuse Baie-des-Chaleurs depuis 2014.

 

La Baie-des-Chaleurs est l’habitat d’une variété de vie marine, tel qu’un nombre élevé d’espèces de poissons de fond et de coquillage (comme le homard et le pétoncle). De plus, certaines rivières connectées à la baie abritent l’un des plus grands saumons sauvages de l’Atlantique Nord.

Située entre le nord-est du Nouveau-Brunswick et le sud de la Gaspésie, la baie des Chaleurs représente un de ces écosystèmes marins essentiels pour les communautés dépendantes de l’économie bleue. Cette baie fait le lien entre des régions sous deux juridictions différentes, mais qui possèdent des éléments historiques, culturels et économiques communs ou similaires.

 

À la suite de cela, la littérature traitant de la zone s’est faite plus discrète et ce n’est que vers le milieu des années 2000 que des études et des rapports abordant la gestion intégrée et le développement durable ont vu le jour. Ce type de document a continué à paraître jusqu’à la moitié des années 2010. Durant la même période, plusieurs études se sont préoccupées non seulement des effets des changements climatiques sur l’environnement, mais aussi sur les communautés humaines côtières ainsi que leur santé avec encore plusieurs études cherchant à caractériser la région sur divers points.

 

Au début des années 2010, il y a eu un retour des recherches sur les effets des polluants, type métaux lourds, sur l’écosystème et l’apparition d’études ayant pour objectifs d’étudier les impacts des activités humaines, principalement ceux de l’extraction d’hydrocarbures et de minerais, des rejets d’usines côtières et de l’arrivée d’espèces envahissantes.

 

Les cinq dernières années ont amené un nouveau lot de sujets se concentrant majoritairement sur les effets des changements climatiques dans la région et sur le développement de techniques aquacoles adaptés aux conditions et problématiques locales.

 

Globalement, on constate que les thématiques abordées autant par la littérature scientifique que la littérature grise sont conditionnées par les modes actuelles de la recherche au niveau mondial et qui définissent régulièrement les possibilités de subventions. L’intérêt pour les sujets abordés est aussi déterminé par les impacts anticipés et/ou reconnus de politiques de développement locales et de vocations données aux territoires pouvant gérer des conflits d’usage ou des mobilisations sociales. Pour finir, vous constaterez que plus de recherche est nécessaire afin de mieux connaître et comprendre le système global de la baie des Chaleurs essentiel pour obtenir une économie bleue durable à long terme.

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